C’est la question que nous nous sommes posés dans le cadre d’une réponse à l’appel à manifestation d’intérêt de l’ADEME. La low-tech, c’est une notion qui semble technique. Construite en opposition aux high-tech, elle décrit une démarche visant à un usage plus juste de nos technologies, prenant en compte le contexte de son développement, son utilité, sa durabilité ou encore son accessibilité. La low-tech en fait, c’est un moyen de parler de redirection écologique concrètement. Mais alors, comment les institutions comme la Villette (EPPGHV) peuvent-elles s’emparer d’une telle démarche ?